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Dans La Meute Rieuse, il y a la fille, Camille Simeray, la poulette au bel accent.
L’aile maquillée et la cuisse habile, qui chante les joies dans les fêlures
sur un air aussi désespéré qu’une mélodie gitane. L’amour étant ce qu’il est,
deux hommes lui tournent autour. Le premier, Morgan Astruc, l’oiseau agile,
vous caresse de notes pour mieux vous surprendre et vous attirer dans son piège flamenco.
L’autre, Julien Capus, le "transe-porteur" avance à grands pas cuivrés.
C’est lui qui actionne la mécanique électronique, trouble les habitudes
et dégrise les chansons à nous en donner la chair de poule...
Il sait pas
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